La lumière qui se tait

J’ai vu ce cliché-là : Yome’s Sugar Dreams… et j’ai failli m’étrangler avec mon thé à la menthe.

Des dentelles ? Oui. Des plumes ? Bien sûr. Une femme envoûtante dans un temple brumeux ? Mais bien sûr !

Mais… pourquoi elle ne sourit pas ?

Parce qu’elle est en train de dire : « Je suis là… mais je ne suis pas à vendre. »

Le pouvoir du non-visible

Tu sais ce que c’est quand ton regard croise le sien… et tu comprends qu’elle ne pose pas pour toi ?

Non. C’est une révolte silencieuse. C’est plus fort qu’un hashtag #FeministVibes. C’est l’art de dire : « Je suis belle… mais je choisis quand on me voit. »

Et si la vraie beauté était de ne rien montrer ?

On nous apprend à briller comme des néons dans les rues de Paris. Moi, je préfère les ombres douces du Montmartre après la pluie. Et surtout… les filles qui choisissent de rester invisibles — sans culpabilité.

Alors oui : que la lumière tombe sur la peau, sur les draps légers, sur les rêves d’une autre époque. Mais surtout… honorons celle qui n’a pas besoin d’être vue pour exister.

Vous avez déjà dit « Je suis assez » sans preuve ? 🫶 Passez-moi votre confession dans les commentaires !